Bienvenue sur le site du Bureau FMI du représentant résident au Burkina Faso. Cette page Internet fournit des informations sur les activités du FMI au Burkina Faso et sur les relations entre le Burkina Faso et le FMI. Si vous souhaitez en savoir plus à ce sujet, consultez la page suivante : Le Burkina Faso et le FMI (en anglais). Vous y trouverez les rapports officiels du FMI et les documents du conseil d’administration du FMI sur le Burkina Faso.
Aperçu général
- Nombre de pays actuellement membres du FMI : 189 pays
- Le Burkina Faso a rejoint le Fonds le 2 mai 1963 et accepté l'article VIII en juin 1996.
- Quota total : 120,4 millions de DTS
- Encours de crédits : 142,11 millions de DTS au 30 juin 2019
- La dernière consultation relative à l'article IV a eu lieu le 21 décembre 2018 et le rapport des services du FMI n°19/15 date du 22 janvier 2019.
Activités du bureau du représentant résident
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le 6 décembre 2018
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le 21 septembre 2017
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Visite du DGA du FMI à Ouaga: renforcement de la coopération
le 21 septembre 2017
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le 21 septembre 2017
Travaux du FMI sur le Burkina Faso
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le 8 avril 2024
Le FMI Conclut avec la Côte d’Ivoire un Accord au Niveau des Services sur la Deuxième Revue des Accords MEDC/FEC et la Première Revue de l’Accord FRD
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le 1 mars 2024
Le conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a approuvé un accord de 42 mois au titre de la facilité élargie de crédit (FEC) en faveur du Togo. Cet accord apportera au pays un financement de 293,60 millions de DTS (390 millions de dollars environ), avec un décaissement immédiat de 51,38 millions de DTS (68,3 millions de dollars environ).
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le 15 décembre 2023
Le Conseil d’administration du FMI a approuvé un nouvel accord d’une durée de deux ans au titre de la Facilité pour la Résilience et la Durabilité (FRD) pour un montant équivalent à 200 millions de dollars. Le conseil a également conclu la troisième revue du programme mixte MEDC/FEC, permettant le décaissement immédiat de 136 millions de dollars.
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le 4 décembre 2023
Côte d’Ivoire, Africa
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le 16 novembre 2023
Les conflits et les chocs extérieurs exacerbent les obstacles au développement économique.
Courriels frauduleux usurpant l'identité du FMI
Nous souhaitons informer le public que plusieurs variantes de lettres financières frauduleuses, prétendument délivrées par le Fonds monétaire international (FMI), ou prétendument signées de la main de représentants du FMI, sont actuellement diffusées par courriel à des fins d’escroquerie. Elles utilisent parfois l’entête officielle et le logo du FMI. Ces lettres frauduleuses demandent aux victimes potentielles de contacter le FMI afin d’obtenir « certificat de virement de capitaux international » ou d’autres formes de garantie, qui leur permettraient de recevoir d’importantes sommes d’argent. Il arrive aussi que ces lettres prétendent offrir un prêt en échange de frais de négociation. Le courriel de la personne à contacter est toujours BOGUS et il est demandé aux victimes potentielles d’envoyer leurs informations bancaires personnelles, qui seront ensuite utilisées par les fraudeurs pour mener à bien leurs escroqueries.
Pour plus d’informations à ce sujet, veuillez lire cet article (en anglais)
Perspectives économiques régionales
le 19 avril 2024
Une reprise timide et coûteuseAprès quatre années mouvementées, les perspectives pour l’Afrique subsaharienne s’améliorent progressivement. La croissance va passer de 3,4 % en 2023 à 3,8 % en 2024, et près des deux tiers des pays s’attendent à une croissance plus élevée. La reprise économique devrait se poursuivre au-delà de cette année ; d’après les projections, la croissance devrait atteindre 4,0 % en 2025. En outre, l’inflation a presque diminué de moitié, les ratios de dette publique se sont largement stabilisés et plusieurs pays ont émis des euro-obligations cette année, mettant ainsi un terme à une période de deux ans pendant laquelle la région n’avait plus accès aux marchés internationaux. Cependant, des défis persistent et les risques sont orientés à la baisse. La pénurie de financement se poursuit pour les États de la région qui doivent encore faire face à flux extérieurs en baisse, des coûts d’emprunt élevés et à des remboursements de dette imminents. Dans ce contexte, les pays d’Afrique subsaharienne auront besoin de plus de soutien de la part de la communauté internationale afin de construire un avenir plus inclusif, durable et prospère.
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